alex

Joined: 23 Sep 2004 Posts: 72 Location: switzerland
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Posted: Fri Oct 12, 2007 3:02 pm Post subject: Old Cure Interview (1992) - Cranes related answer (french) |
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Unfortunately, its was a french interview. Here's a short translation of the important facts concerning our fave band.
Asked about the Wish Tour, Robert Smith explained how he was spending time before the shows. He mentionned watching the Cranes live almost every night for two reasons : he loves to hear them live and it gives him an idea of the atmosphera for his forthcoming show.
T.I.B. : Mais j’imagine que tu n’as pas le même sentiment si vous jouez à Paris par exemple ?
R.S. : C’est un sentiment en plus lorsque tu joues un concert particulier dans une ville particulière et tu peux prévoir que ce sera un concert spécial. On le savait pour les trois soirs à Paris, cela aurait été difficile pour nous qu’ils ne soient pas bons parce que tout le monde les voulait bons.
Ce qu’il y a de bien avec le Zénith, c’est que qui prouve que c’était un bon choix comme salle de concert, c’est que les coulisses sont un espace ouvert, tu pouvais sentir l’atmosphère de l’ensemble, tu en fais partie en fait, c’est pourquoi je sors voir les Cranes presque tous les soirs. Bien sûr c’est parce que j’aime les écouter mais c’est aussi parce que cela donne une idée de l’atmosphère plutôt que de juste te jeter sur scène directement ; cela peut être une expérience sérielle et quelquefois cela peut de prendre toute la nuit pour t’en sortir. Tu ne te sens pas concerné, tu te sens observé tout le temps. Mais si tu regardes quelqu’un d’autre en train de jouer sur scène, tu te sens un peu comme faisant partie du public. C’est autre chose que j’essaye. Je regarde les Cranes et je me dis que je peux faire ça.
http://cocosuodo.magicrpm.com/38236/The-Cure---Dans-les-meandres-du-Wish-Tour--T-I-B---1992-/
Interview recueillie par Marie-Arielle Digoix & Jean Tran pour Three Imaginary Boys (n°43, Novembre 1992, Page 20 à 32 ) _________________ as the water flows over the bridge
as we walk on the floodland
as we walk on the water, we forget |
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